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 تخصص Laborantins Diplômés d’Etat.

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Sérologie de la syphilis


Prélèvement : Prélèvement de sang veineux
Bilans : Dépistage d'une maladie sexuellement transmissible - Bilan biologique
d'une infection - Surveillance biologique de la grossesse - Bilan prénuptial -
Bilan d'une aide médicale à la procréation
* Quelles sont les précautions particulières à prendre ?
* En quoi consiste cette yse ?
* Quelles sont les valeurs normales ?
* Comment est interprété le résultat ?
Quelles sont les précautions particulières à prendre ?
Il est inutile d'être à jeun avant le prélèvement.
Un traitement par /*1084/antibiotique/*/ doit impérativement être signalé pour
interpréter correctement cet examen.
En quoi consiste cette yse ?
La syphilis est une maladie sexuellement transmissible d'évolution lente, due à
une /*1083/bactérie/*/ Treponema pallidum. Bénigne lorsqu'elle est traitée
précocément, elle peut devenir grave lorsqu'elle est méconnue, traitée
tardivement ou insuffisamment.
La sérologie syphilitique consiste à rechercher dans le sang la présence
d'/*980/anticorps/*/ spécifiques de Treponema pallidum, témoins d'une
réaction de l'organisme envers cette bactérie et donc d'une syphilis.
Plusieurs méthodes sont utilisées pour cette sérologie :
* le TPHA (Treponema Pallidum Hemagglutination Assay) et le VDRL
(Venereal Disease Research Laboratory) sont le plus souvent demandés en
dépistage ;
* le FTA-absorption (Fluorescent Treponema Antibody) /*1590/IgG et IgM/*/
et l'Elisa IgM sont deux autres tests qui permettent de confirmer le diagnostic et
aident à dater l'infection.
ladie sexuellement transmissible d'évolution lente, due à une /*1083/bactérie/*/
Treponema pallidum. Bénigne lorsqu'elle est traitée précocément, elle peut
devenir grave lorsqu'elle est méconnue, traitée tardivement ou insuffisamment.
La sérologie syphilitique consiste à rechercher dans le sang la présence
d'/*980/anticorps/*/ spécifiques de Treponema pallidum, témoins d'une
réaction de l'organisme envers cette bactérie et donc d'une syphilis
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VACCINATION CONTRE L'HÉPATITE B ET SCLÉROSE


Pourquoi les dernières jurisprudences en matière de sclérose en plaques
(SEP) et de vaccination obligatoire contre l'hépatite B vont-elles à
l'encontre des données scientifiques actuelles ?
Cet article n'a pas pour but de prendre parti pour les défenseurs du vaccin
ou pour ses détracteurs. Il n'est pas question non plus d'oublier la détresse
des patients atteints par cette maladie et qui estiment qu'elle est due à
cette injection ou de s'interroger sur la mise en examen, en début d'année,
de deux fabricants de vaccins. Il a juste pour objet de confronter la
jurisprudence aux données actuelles de la science.
Que dire de la relation entre le vaccin et la SEP ?
Si l'on en croit l'Académie de médecine et son communiqué du 12 février
2008, intitulé "Sur la vaccination de l'hépatite B en France", un lien de
causalité n'a pas pu être mis en évidence. "8 études nationales et
internationales ont démontré l’absence de relation statistiquement
significative entre la SEP et la vaccination contre l’hépatite B. Une étude
publiée en 2004 par Hernan 1 a soulevé des questions, mais sa
méthodologie a été réfutée par les experts de l’OMS 2,3. Deux réunions
de consensus nationales en 2003 et 2004 ont confirmé les
recommandations de vaccination prioritaire des nourrissons et de
rattrapage des enfants et adolescents non vaccinés 4,5. Tout récemment
ont été publiées deux études des services de neuro-pédiatrie français
(KIDSEP) chez l’enfant et l’adolescent (2007) : la première démontre
l’absence d’influence du vaccin de l’hépatite B sur le risque de passage à
la SEP après le premier épisode de maladie démyélinisante ; la deuxième
montre qu’il n’y a pas d’augmentation du risque de première poussée de
SEP après une vaccination contre l’hépatite B dans les 3 années
précédentes 6,7 ".
Toutes ces études ne semblent pas aller dans le sens de l'indemnisation
des patients. Bien entendu, il ne faut pas en rester là et il convient de
prendre aussi en compte le point de vue de ceux qui estiment que le
travail d'Hernan ne doit pas être réfuté et que, selon ses résultats, le risque
de faire une SEP dans les trois années qui suivent la vaccination est 3,1
fois plus grand qu’en l’absence de vaccination. Le vaccin pourrait alors
être considéré comme un produit défectueux au sens juridique du terme.
Dans un cas, comme dans l'autre, il s'agit d'un débat d'experts qui semble
très difficile à appréhender 8. Une seule étude a donc fait renaître le
doute. Il en faut habituellement plus pour emporter l'avis des juges, mais,
dans ce cas, les certitudes des patients et des médias viennent amplifier ce
doute. Normalement, le doute doit bénéficier à l'accusé, sauf dans les cas
d'indemnisations médicales où c'est au patient que le doute profite. Il faut
dire que les moyens dont dispose le patient face à ceux dont disposent les
assureurs des praticiens, des établissements de soins ou de l'État ne sont
pas du même ordre. L'affaire du sang contaminé n'est pas étrangère à ces
nouvelles habitudes, y compris dans des situations totalement différentes.
Le lien de causalité entre les transfusions sanguines et la transmission du
virus de l'immunodéficience humaine n'a pas vraiment été remis en cause.
Il a été ignoré malgré les études qui l'identifiaient.
L'objectivité du monde médicale, dans une telle situation, est mise à mal,
car la théorie du complot, de praticiens vendus à l'industrie ou aux ordres
des instances gouvernementales refait instantanément surface. Cela n'a
rien d'étonnant après les scandales sanitaires de la fin du XXe siècle
(VIH, amiante, etc.) Mais, c'est oublier que ces scandales n'ont pu être
dénoncés que grâce au travail de nombreux médecins à l'origine de
nombreuses études documentées et indiscutables. Que tous les médecins
aient les mêmes intérêts concernant le vaccin contre l'hépatite B serait
surprenant.
Les plateaux de la balance judiciaire ne sont plus à l'équilibre
Il ne sera vraisemblablement jamais possible de dire qu'il est certain qu'il
n'existe aucun lien de causalité entre le vaccin et la SEP. Les statisticiens
continueront à affirmer qu'ils ne réussissent pas à mettre ce lien en
évidence, ce qui est une réponse en soi, mais qui ne semble pas convenir
aux juges. Il faut donc considérer que le doute va persister et que cette
interrogation va continuer à bénéficier au patient. Les preuves
scientifiques laissent la place aux convictions des magistrats. Cela peut
expliquer l'évolution actuelle des jurisprudences. L'attitude des juges peut
faire penser à une espèce de principe de précaution tendant à condamner
par excès. La justice ne peut se contenter de dire qu'elle ne sait pas et
préfère s'engager aux côtés des patients, de peur de ne pas condamner le
plus fort financièrement au profit du plus faible, malade qui plus est.
Tous les juristes qui ont ysé les trois décisions 9 de la Cour de
cassation du 22 mai 2008 parlent d'un revirement de la jurisprudence qui
va plus loin que ce qui existait jusque-là. Le lien de causalité n'a plus à
être établi, les présomptions suffisent. Pour la Cour, "si l'action en
responsabilité du fait d'un produit défectueux exige la preuve du
dommage, du défaut et du lien de causalité entre le défaut et le dommage,
une telle preuve peut résulter de présomptions, pourvu qu'elles soient
graves, précises et concordantes".
Le Conseil d'État a lui aussi considéré, le 4 juillet 2008 10, que l'État
devait indemniser, sur le principe de l'article L 3111-9 du code de la santé
publique, l'apparition d'une sclérose en plaques apparue après des
injections de vaccin contre l'hépatite B, imposée à l'agent du service
public qui n'avait pas de problème de santé auparavant. Cette institution
va plus loin, puisqu'elle ne s'arrête pas à la SEP, mais étend
l'indemnisation à la sclérose latérale amyotrophique 11 ou à une
fibromyalgie 12.
Mais la justice ne va pas au bout de cette logique. La décision de la cour
administrative d'appel de Bordeaux 13, le 1er juillet 2008, considère
qu'aux termes du premier alinéa de l'article L. 3111-4 du code de la santé
publique : "Une personne qui, dans un établissement ou un organisme
public ou privé de prévention de soins ou hébergeant des personnes
âgées, exerce une activité professionnelle l'exposant à des risques de
contamination doit être immunisée contre l'hépatite B, la diphtérie, le
tétanos, la poliomyélite et la grippe" ; qu'aux termes du premier alinéa de
l'article L. 3111-9 du code de la santé publique, dans sa rédaction
applicable à la date de la décision rejetant la demande d'indemnisation de
la requérante : "Sans préjudice des actions qui pourraient être exercées
conformément au droit commun, la réparation d'un dommage imputable
directement à une vaccination obligatoire pratiquée dans les conditions
mentionnées au présent chapitre, est supportée par l'État " ; il résulte de
ces dispositions qu'il incombe au demandeur souhaitant obtenir réparation
d'un dommage sur leur fondement d'apporter la preuve de l'imputabilité
directe de son préjudice à la vaccination obligatoire. La cour retient un
délai supérieur à deux ans entre la vaccination et l'apparition des premiers
signes de sclérose en plaques pour rejeter la demande de la patiente d'être
indemnisée. Pourquoi ce délai de deux ans alors que l'étude d'Hernan
considère que le risque est augmenté pendant trois ans ?
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système ABO


Ensemble de quatre groupes sanguins érythrocytaires découverts en 1900
par Landsteiner, et qui sont à la base de la transfusion sanguine.
Ce système est représenté par deux antigènes, A (lui-même subdivisé en
deux sous-groupes A1 et A2) et B, qui définissent quatre groupes
sanguins selon l'antigène qui est présent sur les globules rouges : groupe
A lorsque l'antigène A est seul présent, groupe B lorsque l'antigène B est
seul présent, groupe AB lorsque les antigènes A et B sont tous les deux
présents, groupe O lorsque aucun des deux antigènes n'est présent. Les
fréquences en France sont : groupe A, 45 % ; groupe B, 9 % ; groupe O,
43 % ; groupe AB, 3 %.
Le sérum des sujets de chaque groupe contient l'anticorps correspondant à
l'antigène que ses globules rouges ne possèdent pas. Le sérum du groupe
A contient l'anticorps anti-B, celui du groupe B l'anticorps anti-A, celui
du groupe O les anticorps anti-A et anti-B. Le sérum du groupe AB ne
contient aucun anticorps.
Au cours d'une transfusion sanguine, sous peine d'accidents hémolytiques
graves, parfois mortels, on ne doit pas injecter du sang contenant
l'antigène au sujet qui possède dans son sérum l'anticorps correspondant à
cet antigène. Le sang des sujets du groupe O (qui ne possède aucun
antigène sur les hématies) peut être injecté à tout le monde (le groupe O
est donneur universel). Le groupe AB qui, lui, ne contient aucun anticorps
dans le sérum est receveur universel.
La transmission héréditaire des antigènes A et B suit les lois de Mendel,
les gènes des groupes des systèmes ABO étant portés par le chromosome
n° 9. A et B sont nts par rapports à O. Les sujets du groupe O sont
donc toujours homozygotes et ceux du groupe AB toujours hétérozygotes.
Mais les sujets A et B peuvent être homozygotes (AA, BB) ou
hétérozygotes (AO, BO), ce qui limite considérablement la valeur du
système ABO pour la recherche de la paternité.
En dehors des globules rouges, les antigènes A et B sont largement
répandus dans différents tissus. Ils constituent donc un important système
d'histocompatibilité et jouent un rôle essentiel dans les greffes et
transplantations d'organes.
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bactiriologie
علم الجراثيم


I- Introduction :
Il est toujours difficile d’isoler la bactérie réellement responsable à partir de prélèvements pluri microbiens.
La cli constitue un épisode à laquelle le biologiste pourra puiser a fin d’interpréter ses résultats dans une logique scientifique.
Les prélèvements rhinopharyngés sont colonisés par une flore très variée, c’est pour cela qu’il est intéressant de pratiquer des cultures ce qui va nous permettre de faire une approche bactériologique avec la cli fournit par le clinicien.

II- Rappels anatomiques :
Le rhinopharynx ou nasopharynx est la partie supérieure du pharynx au-dessus du voile du palais constituée des fosses nasales. Il commence derrière les cornets, dans la région postérieure des cavités nasales: les choanes. Il est en communication avec la trompe auditive (oreille moyenne) et se termine derrière l'uvule. L'épithélium y est pseudo stratifié prismatique cilié.

III- Contexte :

IV- Prélèvement :
- Aspiration de pus de sinus au méat moyen réalisé par l'ORL.
- Les prélèvements sont faits avant tout traitement antibiotique : expectoration, écouvillonnage au niveau des fosses nasales, aspiration pharyngée au cours d’une kinésithérapie respiratoire (mais contamination par la flore rhinopharyngée saprophyte).
- Un milieu de transport permettant notamment la survie des bactéries anaérobies est à prévoir si la mise en culture ne peut être effectuée dans un délai de moins de 2 heures.


V- Diagnostic bactériologique :

1- Examen direct :

L’examen microscopique après coloration de Gram peut fournir, notamment dans le cas d'un pus de sinusite, un diagnostic d'orientation intéressant pour le clinicien.

2- Culture :

Il faut ensemencer les milieux de cultures appropriés aux objectifs de chaque contexte :

- Pus de sinus ou de fosses nasales :
• Gélose au sang avec et/ou sans mélange inhibiteur, incubée sous 10 % de CO2 ou en anaérobiose,
• Gélose permettant la croissance des anaérobies et incubée en anaérobiose, notamment dans le cas des pus de sinusite chro prélevés par aspiration au méat moyen,
• Gélose au sang cuit ou gélose chocolat enrichie en mélange poly vitami incubée en atmosphère 10 % de CO2,
• Gélose sélective des bacilles à Gram négatif notamment dans le cas des pus de sinusite chro ,
• Bouillon de type cœur cervelle enrichi extemporanément à l'extrait globulaire.
• Milieu de Sabouraud incubé entre 22° et 30° C à conserver 15 jours maximum.

- Bilan d'une staphylococcie récidivante (Fosses nasales) :
• Gélose ordinaire ou gélose sélective de type Chapman.

- Recherche de B. pertussis par culture :
* Gélose de Bordet Gengou préparée extemporanément et incubée sous 10 % de CO2.

VI- Traitement :

La liste des micro-organismes habituellement considérés comme pathogènes dans ce type de prélèvements figure dans le tableau précédent. Les prélèvements sont souvent pluri microbiens.
Dans le cas d'un pus de sinusite prélevé par aspiration au méat moyen, il n'y a pas a priori de problème d'interprétation bien qu'il puisse exister un certain degré de contamination du prélèvement par les bactéries des fosses nasales.
Dans les autres cas, il peut être difficile, pour les espèces pathogènes opportunistes qui appartiennent à la flore commensale du rhinopharynx, de leur attribuer un rôle pathogène certain. Le contexte cli et, dans une moindre mesure, la quantité de bactéries isolées peuvent constituer une aide.

VII- Conclusion :

Devant les difficultés d’interprétation des résultats, le travail de collaboration entre le Laboratoire et le service demandeur de l’examen reste la meilleure solution pour un diagnostic de qualité et de certitude.
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les fonction de renale

وظائف الكليتين


L'urée

Normes biologiques

Urée plasmatique : 2,8 - 7,6 mmol / L ou 0,10 - 0,55 g / L
Urée urinaire : 166 - 580 mmol / 24h
Intérêt du dosage

L'urée est une forme d'élimination des déchets azotés issus du métabolisme des protides.

Dépister une insuffisance rénale :
Augmentation de l'urémie (urée dans le sang).
Baisse de l'uricémie (urée dans les s).

La créatinine

Normes biologiques

Créatinine plasmatique : 53 - 97 µmol / L ou 5 - 12 mg / L
Créatinine urinaire : 1050 µmol / 24h
Intérêt du dosage

La créatinine est un produit de dégradation de la créatine, elle est ensuite filtrée puis éliminée par le rein.

Dépister l'insuffisance rénale :
Augmentation de la créatininémie (créatinine dans le sang).
Baisse de la créatininurie (créatinine dans les s).

La clairance de la créatinine

Norme biologique

95 - 135 ml / min / 1,73m2
Intérêt du dosage

Dépister une insuffisance rénale : clairance de la créatinine < 90 ml / min / 1,73m2 :
Insuffisance rénale chro mineur : clairance 90-60 ml/min ; pas de signe cli .
Insuffisance rénale chro modéré : clairance 60-30 ml/min ; pas de signe cli .
Insuffisance rénale chro avancé : clairance 30-15 ml/min ; signe cli et biologique.
Insuffisance rénale chro terminale : clairance <15 ml/min ; complications.

Le ionogramme urinaire

Le sodium urinaire : la natriurie

Norme biologique

80 - 400 mmol / 24h
Intérêt du dosage

Augmentation de la natriurèse :
Insuffisance surrénalienne.
Néphropathies interstitielles.
Administration de diurétiques ou lors d’un régime riche en sel.
Diminution de la natriurèse :
Insuffisances rénales.
Pertes de sel extra rénales (diarrhées, vomissements, hypersudation).
Le potassium urinaire : la kaliurie

Norme biologique

10 - 80 mmol / 24h
Intérêt du dosage

Surveillance de l'équilibre acido-basique.
Surveillance de l'état d'hydratation de l'organisme.
Dépister un déséquilibre hydro-éléctrolytique.
Augmentation de la kaliurèse :
Insuffisance rénale.
Hypercorticismes (syndrome de Cushing).
Régimes riches en potassium.
Diminution de la kaliurèse :
Insuffisances d’apport.
Diarrhées.
Malabsorptions.

La protéinurie des 24 heures

Norme biologique

1 - 25 mg / 24h
Intérêt du dosage

Le rein est capable de retenir toutes les protéines qui passent à son niveau. Par contre en cas de maladies rénales, la perméabilité du rein est augmentée et des protéines peuvent se retrouver dans les s.

Leur dosage permet de quantifier certaines anomalies rénales, comme les syndromes néphrotiques.

Bilan de la fonction rénale : défaut de filtration si la protéinurie est élevée.
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