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baconecdz مدير المنتدى : خالد khaled الجنس : هوايتي : الرياضة مسآهمآتے : 11463 التقييم : 368 | موضوع: تخصص Laborantins Diplômés d’Etat. الأربعاء 20 يونيو 2012 - 13:39 | |
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Sérologie de la syphilis
Prélèvement : Prélèvement de sang veineux Bilans : Dépistage d'une maladie sexuellement transmissible - Bilan biologique d'une infection - Surveillance biologique de la grossesse - Bilan prénuptial - Bilan d'une aide médicale à la procréation * Quelles sont les précautions particulières à prendre ? * En quoi consiste cette yse ? * Quelles sont les valeurs normales ? * Comment est interprété le résultat ? Quelles sont les précautions particulières à prendre ? Il est inutile d'être à jeun avant le prélèvement. Un traitement par /*1084/antibiotique/*/ doit impérativement être signalé pour interpréter correctement cet examen. En quoi consiste cette yse ? La syphilis est une maladie sexuellement transmissible d'évolution lente, due à une /*1083/bactérie/*/ Treponema pallidum. Bénigne lorsqu'elle est traitée précocément, elle peut devenir grave lorsqu'elle est méconnue, traitée tardivement ou insuffisamment. La sérologie syphilitique consiste à rechercher dans le sang la présence d'/*980/anticorps/*/ spécifiques de Treponema pallidum, témoins d'une réaction de l'organisme envers cette bactérie et donc d'une syphilis. Plusieurs méthodes sont utilisées pour cette sérologie : * le TPHA (Treponema Pallidum Hemagglutination Assay) et le VDRL (Venereal Disease Research Laboratory) sont le plus souvent demandés en dépistage ; * le FTA-absorption (Fluorescent Treponema Antibody) /*1590/IgG et IgM/*/ et l'Elisa IgM sont deux autres tests qui permettent de confirmer le diagnostic et aident à dater l'infection. ladie sexuellement transmissible d'évolution lente, due à une /*1083/bactérie/*/ Treponema pallidum. Bénigne lorsqu'elle est traitée précocément, elle peut devenir grave lorsqu'elle est méconnue, traitée tardivement ou insuffisamment. La sérologie syphilitique consiste à rechercher dans le sang la présence d'/*980/anticorps/*/ spécifiques de Treponema pallidum, témoins d'une réaction de l'organisme envers cette bactérie et donc d'une syphilis Sérologie de la syphilis |
| | | | baconecdz مدير المنتدى : خالد khaled الجنس : هوايتي : الرياضة مسآهمآتے : 11463 التقييم : 368 | موضوع: رد: تخصص Laborantins Diplômés d’Etat. الأربعاء 20 يونيو 2012 - 13:40 | |
| VACCINATION CONTRE L'HÉPATITE B ET SCLÉROSE
Pourquoi les dernières jurisprudences en matière de sclérose en plaques (SEP) et de vaccination obligatoire contre l'hépatite B vont-elles à l'encontre des données scientifiques actuelles ? Cet article n'a pas pour but de prendre parti pour les défenseurs du vaccin ou pour ses détracteurs. Il n'est pas question non plus d'oublier la détresse des patients atteints par cette maladie et qui estiment qu'elle est due à cette injection ou de s'interroger sur la mise en examen, en début d'année, de deux fabricants de vaccins. Il a juste pour objet de confronter la jurisprudence aux données actuelles de la science. Que dire de la relation entre le vaccin et la SEP ? Si l'on en croit l'Académie de médecine et son communiqué du 12 février 2008, intitulé "Sur la vaccination de l'hépatite B en France", un lien de causalité n'a pas pu être mis en évidence. "8 études nationales et internationales ont démontré l’absence de relation statistiquement significative entre la SEP et la vaccination contre l’hépatite B. Une étude publiée en 2004 par Hernan 1 a soulevé des questions, mais sa méthodologie a été réfutée par les experts de l’OMS 2,3. Deux réunions de consensus nationales en 2003 et 2004 ont confirmé les recommandations de vaccination prioritaire des nourrissons et de rattrapage des enfants et adolescents non vaccinés 4,5. Tout récemment ont été publiées deux études des services de neuro-pédiatrie français (KIDSEP) chez l’enfant et l’adolescent (2007) : la première démontre l’absence d’influence du vaccin de l’hépatite B sur le risque de passage à la SEP après le premier épisode de maladie démyélinisante ; la deuxième montre qu’il n’y a pas d’augmentation du risque de première poussée de SEP après une vaccination contre l’hépatite B dans les 3 années précédentes 6,7 ". Toutes ces études ne semblent pas aller dans le sens de l'indemnisation des patients. Bien entendu, il ne faut pas en rester là et il convient de prendre aussi en compte le point de vue de ceux qui estiment que le travail d'Hernan ne doit pas être réfuté et que, selon ses résultats, le risque de faire une SEP dans les trois années qui suivent la vaccination est 3,1 fois plus grand qu’en l’absence de vaccination. Le vaccin pourrait alors être considéré comme un produit défectueux au sens juridique du terme. Dans un cas, comme dans l'autre, il s'agit d'un débat d'experts qui semble très difficile à appréhender 8. Une seule étude a donc fait renaître le doute. Il en faut habituellement plus pour emporter l'avis des juges, mais, dans ce cas, les certitudes des patients et des médias viennent amplifier ce doute. Normalement, le doute doit bénéficier à l'accusé, sauf dans les cas d'indemnisations médicales où c'est au patient que le doute profite. Il faut dire que les moyens dont dispose le patient face à ceux dont disposent les assureurs des praticiens, des établissements de soins ou de l'État ne sont pas du même ordre. L'affaire du sang contaminé n'est pas étrangère à ces nouvelles habitudes, y compris dans des situations totalement différentes. Le lien de causalité entre les transfusions sanguines et la transmission du virus de l'immunodéficience humaine n'a pas vraiment été remis en cause. Il a été ignoré malgré les études qui l'identifiaient. L'objectivité du monde médicale, dans une telle situation, est mise à mal, car la théorie du complot, de praticiens vendus à l'industrie ou aux ordres des instances gouvernementales refait instantanément surface. Cela n'a rien d'étonnant après les scandales sanitaires de la fin du XXe siècle (VIH, amiante, etc.) Mais, c'est oublier que ces scandales n'ont pu être dénoncés que grâce au travail de nombreux médecins à l'origine de nombreuses études documentées et indiscutables. Que tous les médecins aient les mêmes intérêts concernant le vaccin contre l'hépatite B serait surprenant. Les plateaux de la balance judiciaire ne sont plus à l'équilibre Il ne sera vraisemblablement jamais possible de dire qu'il est certain qu'il n'existe aucun lien de causalité entre le vaccin et la SEP. Les statisticiens continueront à affirmer qu'ils ne réussissent pas à mettre ce lien en évidence, ce qui est une réponse en soi, mais qui ne semble pas convenir aux juges. Il faut donc considérer que le doute va persister et que cette interrogation va continuer à bénéficier au patient. Les preuves scientifiques laissent la place aux convictions des magistrats. Cela peut expliquer l'évolution actuelle des jurisprudences. L'attitude des juges peut faire penser à une espèce de principe de précaution tendant à condamner par excès. La justice ne peut se contenter de dire qu'elle ne sait pas et préfère s'engager aux côtés des patients, de peur de ne pas condamner le plus fort financièrement au profit du plus faible, malade qui plus est. Tous les juristes qui ont ysé les trois décisions 9 de la Cour de cassation du 22 mai 2008 parlent d'un revirement de la jurisprudence qui va plus loin que ce qui existait jusque-là. Le lien de causalité n'a plus à être établi, les présomptions suffisent. Pour la Cour, "si l'action en responsabilité du fait d'un produit défectueux exige la preuve du dommage, du défaut et du lien de causalité entre le défaut et le dommage, une telle preuve peut résulter de présomptions, pourvu qu'elles soient graves, précises et concordantes". Le Conseil d'État a lui aussi considéré, le 4 juillet 2008 10, que l'État devait indemniser, sur le principe de l'article L 3111-9 du code de la santé publique, l'apparition d'une sclérose en plaques apparue après des injections de vaccin contre l'hépatite B, imposée à l'agent du service public qui n'avait pas de problème de santé auparavant. Cette institution va plus loin, puisqu'elle ne s'arrête pas à la SEP, mais étend l'indemnisation à la sclérose latérale amyotrophique 11 ou à une fibromyalgie 12. Mais la justice ne va pas au bout de cette logique. La décision de la cour administrative d'appel de Bordeaux 13, le 1er juillet 2008, considère qu'aux termes du premier alinéa de l'article L. 3111-4 du code de la santé publique : "Une personne qui, dans un établissement ou un organisme public ou privé de prévention de soins ou hébergeant des personnes âgées, exerce une activité professionnelle l'exposant à des risques de contamination doit être immunisée contre l'hépatite B, la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite et la grippe" ; qu'aux termes du premier alinéa de l'article L. 3111-9 du code de la santé publique, dans sa rédaction applicable à la date de la décision rejetant la demande d'indemnisation de la requérante : "Sans préjudice des actions qui pourraient être exercées conformément au droit commun, la réparation d'un dommage imputable directement à une vaccination obligatoire pratiquée dans les conditions mentionnées au présent chapitre, est supportée par l'État " ; il résulte de ces dispositions qu'il incombe au demandeur souhaitant obtenir réparation d'un dommage sur leur fondement d'apporter la preuve de l'imputabilité directe de son préjudice à la vaccination obligatoire. La cour retient un délai supérieur à deux ans entre la vaccination et l'apparition des premiers signes de sclérose en plaques pour rejeter la demande de la patiente d'être indemnisée. Pourquoi ce délai de deux ans alors que l'étude d'Hernan considère que le risque est augmenté pendant trois ans ? |
| | | | baconecdz مدير المنتدى : خالد khaled الجنس : هوايتي : الرياضة مسآهمآتے : 11463 التقييم : 368 | موضوع: رد: تخصص Laborantins Diplômés d’Etat. الأربعاء 20 يونيو 2012 - 13:41 | |
| système ABO
Ensemble de quatre groupes sanguins érythrocytaires découverts en 1900 par Landsteiner, et qui sont à la base de la transfusion sanguine. Ce système est représenté par deux antigènes, A (lui-même subdivisé en deux sous-groupes A1 et A2) et B, qui définissent quatre groupes sanguins selon l'antigène qui est présent sur les globules rouges : groupe A lorsque l'antigène A est seul présent, groupe B lorsque l'antigène B est seul présent, groupe AB lorsque les antigènes A et B sont tous les deux présents, groupe O lorsque aucun des deux antigènes n'est présent. Les fréquences en France sont : groupe A, 45 % ; groupe B, 9 % ; groupe O, 43 % ; groupe AB, 3 %. Le sérum des sujets de chaque groupe contient l'anticorps correspondant à l'antigène que ses globules rouges ne possèdent pas. Le sérum du groupe A contient l'anticorps anti-B, celui du groupe B l'anticorps anti-A, celui du groupe O les anticorps anti-A et anti-B. Le sérum du groupe AB ne contient aucun anticorps. Au cours d'une transfusion sanguine, sous peine d'accidents hémolytiques graves, parfois mortels, on ne doit pas injecter du sang contenant l'antigène au sujet qui possède dans son sérum l'anticorps correspondant à cet antigène. Le sang des sujets du groupe O (qui ne possède aucun antigène sur les hématies) peut être injecté à tout le monde (le groupe O est donneur universel). Le groupe AB qui, lui, ne contient aucun anticorps dans le sérum est receveur universel. La transmission héréditaire des antigènes A et B suit les lois de Mendel, les gènes des groupes des systèmes ABO étant portés par le chromosome n° 9. A et B sont nts par rapports à O. Les sujets du groupe O sont donc toujours homozygotes et ceux du groupe AB toujours hétérozygotes. Mais les sujets A et B peuvent être homozygotes (AA, BB) ou hétérozygotes (AO, BO), ce qui limite considérablement la valeur du système ABO pour la recherche de la paternité. En dehors des globules rouges, les antigènes A et B sont largement répandus dans différents tissus. Ils constituent donc un important système d'histocompatibilité et jouent un rôle essentiel dans les greffes et transplantations d'organes. 0 commentaire Commenter l'articleVotre commentaireannulerundefined Signaler un abusType d'abusPropos racistesPropos diffamatoiresPropos sViolation de droits d'auteursAutreVotre commentaireannulerundefineddéconnexion |
| | | | baconecdz مدير المنتدى : خالد khaled الجنس : هوايتي : الرياضة مسآهمآتے : 11463 التقييم : 368 | موضوع: رد: تخصص Laborantins Diplômés d’Etat. الأربعاء 20 يونيو 2012 - 13:41 | |
| bactiriologie علم الجراثيم
I- Introduction : Il est toujours difficile d’isoler la bactérie réellement responsable à partir de prélèvements pluri microbiens. La cli constitue un épisode à laquelle le biologiste pourra puiser a fin d’interpréter ses résultats dans une logique scientifique. Les prélèvements rhinopharyngés sont colonisés par une flore très variée, c’est pour cela qu’il est intéressant de pratiquer des cultures ce qui va nous permettre de faire une approche bactériologique avec la cli fournit par le clinicien.
II- Rappels anatomiques : Le rhinopharynx ou nasopharynx est la partie supérieure du pharynx au-dessus du voile du palais constituée des fosses nasales. Il commence derrière les cornets, dans la région postérieure des cavités nasales: les choanes. Il est en communication avec la trompe auditive (oreille moyenne) et se termine derrière l'uvule. L'épithélium y est pseudo stratifié prismatique cilié.
III- Contexte :
IV- Prélèvement : - Aspiration de pus de sinus au méat moyen réalisé par l'ORL. - Les prélèvements sont faits avant tout traitement antibiotique : expectoration, écouvillonnage au niveau des fosses nasales, aspiration pharyngée au cours d’une kinésithérapie respiratoire (mais contamination par la flore rhinopharyngée saprophyte). - Un milieu de transport permettant notamment la survie des bactéries anaérobies est à prévoir si la mise en culture ne peut être effectuée dans un délai de moins de 2 heures.
V- Diagnostic bactériologique :
1- Examen direct :
L’examen microscopique après coloration de Gram peut fournir, notamment dans le cas d'un pus de sinusite, un diagnostic d'orientation intéressant pour le clinicien.
2- Culture :
Il faut ensemencer les milieux de cultures appropriés aux objectifs de chaque contexte :
- Pus de sinus ou de fosses nasales : • Gélose au sang avec et/ou sans mélange inhibiteur, incubée sous 10 % de CO2 ou en anaérobiose, • Gélose permettant la croissance des anaérobies et incubée en anaérobiose, notamment dans le cas des pus de sinusite chro prélevés par aspiration au méat moyen, • Gélose au sang cuit ou gélose chocolat enrichie en mélange poly vitami incubée en atmosphère 10 % de CO2, • Gélose sélective des bacilles à Gram négatif notamment dans le cas des pus de sinusite chro , • Bouillon de type cœur cervelle enrichi extemporanément à l'extrait globulaire. • Milieu de Sabouraud incubé entre 22° et 30° C à conserver 15 jours maximum.
- Bilan d'une staphylococcie récidivante (Fosses nasales) : • Gélose ordinaire ou gélose sélective de type Chapman.
- Recherche de B. pertussis par culture : * Gélose de Bordet Gengou préparée extemporanément et incubée sous 10 % de CO2.
VI- Traitement :
La liste des micro-organismes habituellement considérés comme pathogènes dans ce type de prélèvements figure dans le tableau précédent. Les prélèvements sont souvent pluri microbiens. Dans le cas d'un pus de sinusite prélevé par aspiration au méat moyen, il n'y a pas a priori de problème d'interprétation bien qu'il puisse exister un certain degré de contamination du prélèvement par les bactéries des fosses nasales. Dans les autres cas, il peut être difficile, pour les espèces pathogènes opportunistes qui appartiennent à la flore commensale du rhinopharynx, de leur attribuer un rôle pathogène certain. Le contexte cli et, dans une moindre mesure, la quantité de bactéries isolées peuvent constituer une aide.
VII- Conclusion :
Devant les difficultés d’interprétation des résultats, le travail de collaboration entre le Laboratoire et le service demandeur de l’examen reste la meilleure solution pour un diagnostic de qualité et de certitude. |
| | | | baconecdz مدير المنتدى : خالد khaled الجنس : هوايتي : الرياضة مسآهمآتے : 11463 التقييم : 368 | موضوع: رد: تخصص Laborantins Diplômés d’Etat. الأربعاء 20 يونيو 2012 - 13:42 | |
| les fonction de renale
وظائف الكليتين
L'urée
Normes biologiques
Urée plasmatique : 2,8 - 7,6 mmol / L ou 0,10 - 0,55 g / L Urée urinaire : 166 - 580 mmol / 24h Intérêt du dosage
L'urée est une forme d'élimination des déchets azotés issus du métabolisme des protides.
Dépister une insuffisance rénale : Augmentation de l'urémie (urée dans le sang). Baisse de l'uricémie (urée dans les s).
La créatinine
Normes biologiques
Créatinine plasmatique : 53 - 97 µmol / L ou 5 - 12 mg / L Créatinine urinaire : 1050 µmol / 24h Intérêt du dosage
La créatinine est un produit de dégradation de la créatine, elle est ensuite filtrée puis éliminée par le rein.
Dépister l'insuffisance rénale : Augmentation de la créatininémie (créatinine dans le sang). Baisse de la créatininurie (créatinine dans les s).
La clairance de la créatinine
Norme biologique
95 - 135 ml / min / 1,73m2 Intérêt du dosage
Dépister une insuffisance rénale : clairance de la créatinine < 90 ml / min / 1,73m2 : Insuffisance rénale chro mineur : clairance 90-60 ml/min ; pas de signe cli . Insuffisance rénale chro modéré : clairance 60-30 ml/min ; pas de signe cli . Insuffisance rénale chro avancé : clairance 30-15 ml/min ; signe cli et biologique. Insuffisance rénale chro terminale : clairance <15 ml/min ; complications.
Le ionogramme urinaire
Le sodium urinaire : la natriurie
Norme biologique
80 - 400 mmol / 24h Intérêt du dosage
Augmentation de la natriurèse : Insuffisance surrénalienne. Néphropathies interstitielles. Administration de diurétiques ou lors d’un régime riche en sel. Diminution de la natriurèse : Insuffisances rénales. Pertes de sel extra rénales (diarrhées, vomissements, hypersudation). Le potassium urinaire : la kaliurie
Norme biologique
10 - 80 mmol / 24h Intérêt du dosage
Surveillance de l'équilibre acido-basique. Surveillance de l'état d'hydratation de l'organisme. Dépister un déséquilibre hydro-éléctrolytique. Augmentation de la kaliurèse : Insuffisance rénale. Hypercorticismes (syndrome de Cushing). Régimes riches en potassium. Diminution de la kaliurèse : Insuffisances d’apport. Diarrhées. Malabsorptions.
La protéinurie des 24 heures
Norme biologique
1 - 25 mg / 24h Intérêt du dosage
Le rein est capable de retenir toutes les protéines qui passent à son niveau. Par contre en cas de maladies rénales, la perméabilité du rein est augmentée et des protéines peuvent se retrouver dans les s.
Leur dosage permet de quantifier certaines anomalies rénales, comme les syndromes néphrotiques.
Bilan de la fonction rénale : défaut de filtration si la protéinurie est élevée. |
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